Concordia Siège National
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Je devais faire une mobilité (entre 9 et 12 semaines) à l’étranger pour obtenir mon diplôme d’ingénieure en bâtiment, et étant en alternance, il s’agissait forcément d’un stage sur la période estivale. N’ayant pas envie d’aller dans un autre pays juste pour me retrouver derrière un ordinateur, je me suis orientée vers le volontariat, de type mission humanitaire à la base. J’avais cependant un peu du mal à me faire à l’idée de partir loin si j’étais seule. C’est là qu’une amie m’a parlé de Concordia et j’ai regardé ce qui pouvait être fait. Par rapport à mon entreprise, il fallait que je parte en une seule fois, donc j’ai regardé ce qui s’accordait niveau planning et type de missions. J’ai pu sélectionner trois chantiers, qui étaient espacés de deux ou trois jours chacun, me permettant de faire les trajets nécessaires de visiter un peu.
Pour l’école, il me fallait absolument des missions dans le domaine de la construction. Cependant, comme je l’ai dit, je cherchais plus qu’une expérience professionnelle et valorisable dans mon CV. Je voulais faire quelque chose de réellement utile, qui puisse aider une personne, une association, une communauté. Je souhaitais donner du sens à ce projet, rencontrer des gens, relâcher la pression des études et être dans un autre environnement que celui de l’entreprise.
Au cours de ma première mission, qui ne durait qu’une semaine, j’ai eu du mal à m’intégrer au groupe, à comprendre et à parler correctement anglais (bien que j’ai un bon niveau à l’école). Il y avait aussi des conversations en Espagnol entre ceux qui parlaient la langue qui étaient impossibles à comprendre pour moi. J’ai compris plus tard que c’était une question d’habitude, et ça s’est mieux passé pendant les chantiers suivants, où j’ai pu faire de vraies rencontres et devenir amie avec mes coéquipiers.
Je pense que la question est plutôt pour ceux qui ont fait des projets de volontariat à moyen et long terme. Pour ma part, j’ai changé trois fois de pays et n’y suis pas restée plus de deux semaines. De plus, je trouve que mon expérience sur le premier chantier n’est pas la plus représentative et/ou marquante des trois (je n’y ai été qu’une semaine, on n’a pas eu beaucoup de temps de travail et pour s’adapter).
Oui, c’était une organisation assez compliquée (planning, administratif avec l’école, transports…) et j’ai vraiment eu du mal à faire le voyage seul au début, mais tout s’est bien passé, et je suis fière de l’avoir fait. Je suis heureuse que cette mobilité internationale m’ait permis de contribuer à ces trois projets.
Cette expérience m’a prouvé que j’étais capable de faire bien plus que je pensais, de voyager seule dans des pays étrangers, alors que je n’étais jamais trop sortie de la France et que j’avais du mal à rester sans personne. Moi qui suis plus intellectuelle que manuelle et introvertie, je me suis dépassée, autant sur le plan physique que sur le plan social. J’ai pu faire de belles rencontres et découvrir des cultures que je ne connaissais pas forcément.
Publié le jeudi 09 janvier 2025 à 15:51:26
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